le lien pour partager cet article: http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=271041
Le Chercheur et Biologiste le Dr. Nissim Gérard Amzallag, fondateur de la société Herbs of Kedem LTD (vendue en 2012) et l'un des fondateurs de l'organisation Nakim.org, a envoyé la semaine dernière une lettre scientifique détaillée au cabinet israélien Covid19 exigeant l'arrêt de la vaccination de masse, prenant en compte le préjudice très possible pour les générations futures, transmission de défauts génétiques et autres par le sperme masculin.
La lettre traduite de l'hébreu en français est jointe et parle d'elle même:
http://www.nakim.org/israel-forums/download.php?id=886
Sa demande intervient quelques semaines après que nous ayons publié l'étude du Dr Hervé Seligmann démontrant des dommages à la fertilité des femmes dans les pays vaccinateurs, voir ici:
http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=271038
ici une version en anglais de la lettre.
http://www.nakim.org/israel-forums/download.php?id=887
quelques citations de la lettre:
4. Sans discuter du bien-fondé de cette hypothèse, je voudrais souligner ici que le danger le plus grave inhérent à l’administration du vaccin n'a été pris en compte par les experts du ministère de la Santé, et que son potentiel de nuisance est bien plus grand que tous les autres facteurs pris en compte jusqu’aujourd’hui, tous affectant les vaccinés uniquement à court et moyen terme.
5. Cependant, l’éventualité d'un effet biologique du vaccin Pfizer sur les générations futures, y compris des malformations, des problèmes métaboliques, cognitifs, etc., pourrait conduire l'État d'Israël à une crise sans précédent, du fait que la vaccination touche les populations en phase de procréation (réelle ou potentielle).
6. Ces problèmes n'ont pas reçu l'attention qu’ils méritent car jusqu'à présent, aucun usage prolongé d’ARN pour la vaccination n’est identifié, tant chez l'homme que chez l'animal. Par conséquent, il n'existe aujourd'hui aucune étude qui puisse dissiper la menace d’un pareil effet transgénérationnel. Par contre, de nombreuses études révèlent aujourd'hui que ce danger existe bien, et qu'il a un réel potentiel destructeur.
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7.3. Les molécules d'ARN introduites par les spermatozoïdes sont d'une importance capitale pour le début du développement embryonnaire. Elles déterminent également l'expression de l'ADN chez le fœtus, et plus tard tout au long de la vie. 1 Par conséquent, tout changement dans la charge d'ARN dans les spermatozoïdes peut affecter le développement et la vie de la progéniture.
7.4. L'effet du changement de la charge d'ARN est transmis aux générations futures, indépendamment de la présence du facteur à la source du changement. 2 Cependant, le maintien de ce facteur augmente l'expression et peut même provoquer des modifications du matériel génétique (ADN).3 Ce danger est d'autant plus menaçant que le virus corona ne va probablement pas disparaître, et sa présence deviendra un facteur croissant d'intensité de ces changements intergénérationnels.
7.5. Les molécules d'ARN qui s'accumulent dans les spermatozoïdes ne sont généralement pas formées à partir de séquences de gènes. Cependant, les chercheurs savent aujourd'hui que de l'ARN messager (contrôlant la production des protéines) est également présent dans la charge d'ARN des spermatozoïdes, sous une forme transformée, et qu'il provoque la transmission à la génération suivante de modifications ciblées.
7.6. Des expériences sur des souris ont récemment révélé qu'une séquence d'ARN étranger produite dans le cerveau de l'animal (après l'introduction d'un virus AAV transgénique qui stimule sa production), se retrouve après plusieurs semaines dans les spermatozoïdes et qu'elle apparaît également dans la descendance. 5 Cette expérience montre qu'il existe un réel danger de transmission à la prochaine génération d'ARN injectée avec le vaccin Pfizer.
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9. Par conséquent, il est clair que l'injection d'une grande quantité d'ARN dans le sang, accompagnée de substances irritantes qui amplifient la réponse de l'organisme (comme celles que contient le vaccin de Pfizer), présente un danger évident de transmission de cet ARN aux générations futures par les gamètes, ou directement sur le foetus.
10. Il est également clair qu'aujourd'hui, nous n’avons aucune possibilité de prédire quel sera cet effet. La seule chose que l'on puisse supposer avec vraisemblance est l'existence d'un effet négatif, étant donné que la protéine (spike) codée par l'ARN injecté est elle-même toxique et provoque une réaction aiguë de l'organisme.
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