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סוכן המוסד יגאל שמיר גילה ב-1971 כי המשימה הראשונה שלו היתה לפעול לאיסוף זהב הנאצים  
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חיים יטיב
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הודעהפורסם: שלישי 17.07.12 9:58    נושא ההודעה: סוכן המוסד יגאל שמיר גילה ב-1971 כי המשימה הראשונה שלו היתה לפעול לאיסוף זהב הנאצים

סוכן המוסד יגאל שמיר גילה ב-1971 כי המשימה הראשונה שלו היתה לפעול לאיסוף זהב הנאצים. הסוכן מגלה כי נחתם הסכם סודי בין ישראל לשוויץ להעברת כספי נספי השואה למדינת ישראל. כמובן שאיש מניצולי השואה באם ניצלו מאותה משפחה ובאופן כללי מאלה שנגזל רכושם ושרדו, לא קיבלו ממדינת ישראל מידע על כך.
הכתבה בצרפתית, הפעילו את התרגום וקראו בעיקר את הסוף.




Les deux violons de Shamir
Créé le 07-09-2001 à 09h10 - Mis à jour à 09h10


* Un sabra virtuose raconte comment on entre dans les services secrets… et comment on en sort


Igal Shamir, ex-pilote, ex-millionnaire, ex-agent d’Israël. Trente-deux ans. 1,85 m, 85 kg. Violoniste de talent. Auteur d’un livre racontant quelques-unes de ses aventures d’espion : « la Cinquième Corde », paru aux Presses de la Cité. Un attrait : c’est la première fois qu’un agent israélien sort de l’ombre. Une énigme : pourquoi a-t-il quitté le Mossad, service secret d’Israël ? Une question subsidiaire : comment a-t-il fait sa fortune et comment l’a-t-il perdue ? Deux jours d’interview. Le sentiment rare qu’un homme s’efforce avec vous d’atteindre à sa vérité. La minute délicieusement amère où il vous dit enfin ce que l’on s’efforçait depuis des heures de lui faire dire, tout en souhaitant peut-être qu’il ne le dise point. Au total : une vie qui échappe à la banalité.

Ses parents, juifs polonais, s’installent à Tel-Aviv, où Igal naît le 6 juin 1938. Misère. Le père s’engage dans la Brigade juive. La mère et l’enfant partagent une chambre de trois mètres sur trois. Un jour, Igal entend un violoniste jouer dans un café-concert. Il en est émerveillé. Un ami de sa mère lui offre un violon. Il a cinq ans.
« Pourquoi le violon ?
– C’est l’instrument juif par excellence. Chez nous, pas un mariage sans son violoneux. Voyez tous les violons dans les tableaux de Chagall. Et “le Violon sur le toit”.
– Parce que le violon s’accorde particulièrement avec la sensibilité juive ?
– Parce que c’est un instrument de grande valeur musicale et de dimensions réduites. Essayez de filer avec une harpe ou un piano à queue. »
A huit ans, Igal donne ses premiers concerts publics. A quatorze, il suit les cours de l’académie de musique de Tel-Aviv. L’école secondaire le matin et le violon l’après-midi. Parmi les enfants, il est « celui qui joue du violon ». Il est le plus grand et le plus fort de sa classe, mais jamais un exercice violent. Point de sport, qui durcirait ses muscles à l’excès. Un amour – le violon – mais pas d’amis. Ni frère ni sœur. Un père toujours absent. Solitude. Et la pauvreté.
A dix-huit ans, fin des études secondaires et appel au service militaire, qui dure là-bas trois années. Mais Israël n’est point si sot que de briser des carrières pouvant ajouter à son éclat : on propose au jeune Igal de servir au sein de l’orchestre de l’armée. Il refuse. Il fera son service comme tout le monde. Et même mieux que la plupart puisqu’il se porte volontaire pour la chasse aérienne. Le sabra pointe sous le musicien. Le jour où Igal apprend qu’il a satisfait aux impitoyables épreuves de sélection est le plus beau jour de sa jeune vie. Plus beau encore que celui de son premier concert public. Le sabra l’emporte sur le violoniste. Choisir l’aviation, c’est accepter cinq années de service au lieu de trois.
Les premiers mois sont consacrés à une « mise en condition physique ». Programme journalier : lever à 5 h, cross de 15 km avec équipement individuel (12 kg), petit déjeuner, maniement d’armes et parcours du combattant toute la matinée, déjeuner, gymnastique, cours théoriques et, avant le dîner, nouveau cross de 20 km. On dort six heures sauf quand il y a entraînement au combat de nuit ou tour de garde.
« Vous avez pu tenir le coup ?
– J’ai cru que j’y laisserais la peau. Les autres venaient presque tous des kibboutzim et ils étaient déjà très durs, très entraînés.
– Ils vous ont aidé ?
– Jamais. Personne n’aidait personne. L’émulation était incroyable. Si un type tombait d’épuisement au cours d’un cross, on passait à côté de lui en le méprisant. »
Après quatre mois de « mise en condition physique », les élèves sont enfin admis à approcher un avion. Au treizième mois, Igal Shamir écrase son « Météor » sur la piste. Côtes enfoncées et traumatisme crânien. Hôpital. Réflexions. Somme toute, il a réussi sa démonstration : à quoi bon poursuivre l’expérience ? Le violoniste l’emporte sur le sabra.
Retrouvailles avec l’instrument. Mais, littéralement, il ne sent plus son violon. La « mise en condition physique » lui a fait des muscles de scieur de long. Au chevet de son lit d’hôpital, la radio annonce qu’un concours est ouvert pour l’interprétation d’un concerto original. Exercices. Shamir remporte le concours. Il quitte la chasse aérienne et entre dans l’orchestre de l’armée. Ses parents sont bien soulagés.

Le tapis magique

En 1958, les Jeunesses musicales d’Israël partent en tournée en Europe, renforcées par des éléments de l’orchestre militaire, dont Igal Shamir. Premier concert à l’Exposition internationale de Bruxelles. Shamir joue devant la reine Elisabeth un concerto de Mozart. La vieille dame, violoniste elle-même, mécène généreux, s’enthousiasme et propose au garçon de lui payer des études au Conservatoire royal. Son service militaire terminé, Shamir repart pour Bruxelles, au grand dam de ses parents (il pourrait épouser une goye). Il a vingt et un ans.
Deux années à Bruxelles. Premier prix du Conservatoire. Quelques concerts. Guère d’argent. Mais on a avec la fille d’un homme politique argentin une liaison qui ne restera pas sans conséquences.
En février 1960, récital au centre culturel de Bruxelles. Gros succès. Après le concert apparaît dans les coulisses un personnage d’une cinquantaine d’années, distingué, vêtu de flanelle grise.
« Il m’a dit qu’il était juif, qu’il adorait la musique et qu’il serait heureux de m’aider. Il se faisait fort, grâce à ses nombreuses relations, de m’obtenir plein de concerts.
– Quelle était sa nationalité ?
– Je n’ai même pas pensé à la lui demander. Du moment qu’il était juif, sa nationalité n’avait pas d’importance.
– Vous ne vous êtes posé aucune question ?
– Aucune. J’étais fou de joie. Il me semblait que c’était une chance inespérée. »
C’est en fait la première phase d’un recrutement bien classique : le tapis magique. Si un service secret décide de vous rendre la vie facile, elle le devient. Et prodigieusement. Ce n’est pas être vulgairement acheté : c’est, dans la traversée du gué, voir surgir les pierres là où il faut et quand il faut. On en prend l’habitude.
Le gentleman en flanelle grise a beaucoup d’amis mélomanes. Concerts privés et publics se multiplient. Puis, ses études au Conservatoire royal terminées, Igal Shamir est invité à entrer au conservatoire de Genève. On lui offre une bourse.
« Vous ne vous êtes toujours pas posé de question ?
– Sur le moment, aucune. Mais j’ai tout de même été surpris de voir à quel point le directeur de Genève était bien renseigné sur mon compte. Il avait une mère juive et il défendait la cause.
– Quelle cause ?
– La cause, c’est Israël. »
Toujours en 1960, une délégation officielle israélienne se rend en Argentine pour y célébrer l’amitié entre les deux pays. Le gentleman fait inviter Shamir, qui donne plusieurs concerts et retrouve à Buenos Aires le père de son amie argentine de Bruxelles. A quelques jours du départ de la délégation, l’un de ses membres prend contact avec Shamir et lui demande un service. Un Israélien installé en Argentine vient de tomber malade, il voudrait rentrer d’urgence à Tel-Aviv et, pour éviter les formalités paperassières, le plus simple serait de le faire inscrire en surnombre sur la liste de la délégation officielle : Igal pourrait-il obtenir cette faveur de son puissant ami ? Il l’obtient. Le jour du départ, un homme affaissé, soutenu par deux officiels israéliens, gagne l’avion sans passer par les ordinaires contrôles de police et de douane. C’est Adolf Eichmann.
« Avez-vous enfin compris ?
– Pas tout de suite. Même quand Ben Gourion a annoncé la capture devant la Knesseth, je n’ai pas fait le rapprochement.
– Quand avez-vous donc compris ?
– Mon mécène m’a finalement éclairé. Il m’a dit : Vous êtes israélien et vous avez le devoir et la possibilité de servir le pays.
– Vous avez accepté sur-le-champ ?
– Evidemment. Si j’avais choisi de passer cinq ans dans la chasse, au risque de briser ma carrière, c’était bien parce que j’étais patriote.
– Quelle a été votre première mission consciente ?
– Encore une histoire d’ancien nazi. Un type qui avait monté des affaires colossales avec de l’argent pris aux Juifs. Il était installé au Portugal mais voyageait sans cesse à travers l’Europe et avait une planque en Suisse. On était presque sûr qu’il s’agissait d’un criminel de guerre et on avait besoin de moi pour en être tout à fait certain.
– Il s’agissait d’un enlèvement ?
– Je crois qu’on voulait surtout récupérer les capitaux. »

L’or des nazis

L’une des activités majeures du Mossad, quoique la plus méconnue. La récupération est organisée avec la même méthode que le furent la razzia et la mise à l’abri du butin. Car les nazis n’attendirent pas les derniers jours de la guerre pour entasser précipitamment des sacs d’or dans une valise et filer aux Amériques. Le 10 août 1944, soixante-sept nazis de premier rang se réunissaient à l’hôtel de Maison-Rouge, à Strasbourg. Les S.S., la Gestapo, la grande industrie et les ministères les plus importants étaient représentés. Ces soixante-sept hommes savaient que la guerre était perdue. Leur conférence ultra-secrète avait pour but d’assurer les moyens de la survie et d’une éventuelle renaissance. Au cours des mois qui suivirent, des centaines de sociétés financières et commerciales furent créées à travers le monde et des milliers de comptes bancaires furent ouverts dans des pays neutres, notamment en Suisse. L’argent provenait des bien pillés à travers l’Europe, principalement de dépouilles juives. Depuis, le Mossad récupère. Un accord passé avec les autorités helvétiques prévoit le versement à l’Etat d’Israël de tout dépôt bancaire dont l’origine juive peut être prouvée.



http://tempsreel.nouvelobs.com/opinions/00018164.EDI0001/les-deux-viol ons-de-shamir.html

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